Foire aux questions pour les personnes souhaitant s’inscrire aux ateliers d’écriture de Marianne
Une séance d’essai est offerte. Vous trouverez sur la page Contact mon numéro de téléphone et mon adresse mail, pour me poser toutes vos questions, y compris les dates des prochains ateliers.
C’est une association qui a été créée il y a 20 ans, à Mions (Commune de l’Est lyonnais, voir la carte, question suivante). La présidente est Marie-Hélène Bonfy. C’est mon groupe de cœur depuis l’origine. J’y ai fait mes premiers pas dans l’écriture, avant d’en devenir l’animatrice (après formation). Cette association a également une branche « chant » qui organise des galas, dissociée de l’atelier d’écriture.
La ville nous offre l’accès à des salles de réunion très pratiques à la Maison des associations (7, allée du Château 69780 Mions).

Les ateliers se tiennent dans des salles de réunion très pratiques, à la Maison des associations : 7, allée du Château 69780 Mions.
Actuellement, il y a quatre groupes qui se réunissent 12 fois dans l’année, entre septembre et juin. Deux groupes sont en atelier le lundi : de 15h00 à 17h30 ou de 18h30 à 21h00. Les deux autres groupes sont en atelier le mercredi de 18h30 à 21h00. La périodicité n’est pas régulière, les dates sont connues souvent deux mois à l’avance. La Maison des associations est fermée durant les vacances scolaires.
Une séance d’essai est offerte. Depuis des années le tarif est stable : 12 € l’inscription à l’association Fasila’Rimer et 120 € pour 12 séances de 2 h 30 (2 heures si le groupe est restreint, le temps de lecture des textes étant réduit).
Il est possible d’établir une facture afin de se faire rembourser par son comité d’entreprise. On peut échelonner ses paiements par chèque.
Oui, la contribution est au prorata du nombre de séances.
Eh bien justement c’est un point d’organisation qui plait beaucoup aux participants, on peut ne rien « louper ».
D’une part, à la demande, j’envoie un résumé des propositions faites en atelier, pour les absents.
D’autre part, chacun est inscrit dans un atelier, mais en cas d’absence et en me prévenant à l’avance, on peut participer à la séance d’un autre groupe, puisque j’en ai 4 et que les dates des 4 sont connues de tous.
Entre 6 et 10 personnes. C’est pourquoi j’ai plusieurs groupes, à des créneaux horaires différents.
Non, ces deux dernières années, pendant toutes ces périodes particulières, les propositions se faisaient en ligne et les participants qui le souhaitaient pouvaient se retrouver en visio, grâce à l’application gratuite Jitsi. Tous les textes étaient diffusés ensuite aux inscrits.
Chacun est libre d’écrire sur le support de son choix : papier (cahier, feuilles volantes…) ou numérique (tablette ou ordinateur personnels).
En atelier, dans 95 % des cas, chacun écrit son texte et le lit lui-même. Quand il y a envoi des textes par mail, c’est moi qui les reçoit et qui si besoin, avant diffusion, effectue le « nettoyage », c’est-à-dire enlever les fautes d’orthographe, de grammaire, de syntaxe, de ponctuation, de typographie.
Non, ce ne sont pas des cours. C’est une activité de loisir. Toutefois, on progresse indéniablement par la fréquence et la variété de ce qu’on rédige. Comme on a un public (toujours bienveillant) on cherche à bien faire, à relever le défi ! Et on apprend également en écoutant et en lisant les textes des autres participants. On gagne en aisance, en confiance en soi dans le domaine de l’écriture. Quand il y a un projet d’impression d’un document qui va être diffusé, je propose des suggestions d’amélioration des textes.
Consultez la rubrique Témoignages. Les « anciens » se souviennent de leur inquiétude du début, vite envolée.
C’est un peu le cas de tout le monde, au début. Lisez les témoignages. C’est dans les attributions de l’animatrice de bien accueillir les nouveaux, les mettre en confiance. Et on risque quoi, en se lançant ? Des compliments…
Alors là, ça n’est pas du tout ce qui se passe dans nos ateliers ! Lisez tous les témoignages qui figurent sur le site.
À chaque fois qu’une nouvelle personne vient essayer (et souvent s’inscrire, ensuite), j’explique le déroulement d’un atelier et je précise que c’est un loisir créatif, qui se vit dans une ambiance bienveillante. (Et tous les participants l’entendent à chaque fois !)
Moi aussi, j’ai ouïe dire que dans certains ateliers, renommés, parisiens, très coûteux…, les textes, parfois écrits entre deux séances, sont « épluchés et commentés par tous… ». Ça peut être violent, en effet. Ça fait peut-être progresser, à la dure ?
Je vous assure que ça n’est pas du tout notre mode de fonctionnement, chez Fasila’Rimer.
Certains choisissent de se saisir de mes propositions pour écrire des souvenirs, d’autres n’écrivent que de la fiction. Chacun fait à sa guise. Qu’on soit bien clair, ça n’est pas un atelier thérapeutique !
Je ne souhaite pas développer une activité de biographe, aidant les personnes à écrire leurs mémoires (être un prête-plume). Mais plusieurs personnes de l’atelier choisissent d’écrire essentiellement des textes autobiographiques. La grande variété de mes propositions leur est précieuse.
Non, c’est un loisir créatif dont on peut attraper le virus à tout âge. Mes inscrits ont entre 15 et 85 ans. Trois de mes ateliers sont en fin de journée (18h30 – 21h00) justement pour accueillir les personnes qui travaillent. L’heure de fin est dictée par les horaires d’ouverture du lieu qui accueille.
Oh, non ! On rigole souvent. Chacun aime produire un texte qui fait rire les autres, quand le sujet s’y prête (ou pas, voir l’humour noir !). Imaginez par exemple que vous créez un « test bidon », sur le thème de votre choix ou que vous racontez les turpitudes de votre héros : « un sale type »… C’est tellement varié, ce qu’on peut écrire en atelier ! Et puis, il y a souvent quelque chose à fêter, on grignote…